Appel aux artistes émergent(e)s! 

Ma première Maison de la culture propose aux artistes une formule simple : investir le hall d’entrée de la maison de la culture Marie-Uguay.

Ce petit espace comprenant trois murs offre une belle visibilité et une chance unique de créer un projet original ou encore de présenter des œuvres déjà existantes prêtes à être partagées avec le public.

L’exposition variera de 4 à 6 semaines entre septembre 2025 et avril 2026 selon vos disponibilités et celles de la maison de la culture.

Avec cet appel, nous espérons offrir une belle opportunité de professionnalisation ainsi qu’une vitrine locale dynamique. Pour soumettre votre candidature, nous vous invitons à composer un dossier court, simple et efficace!  

Pour plus d'informations, consultez le lien suivant : https://www.facebook.com/events/1694612498084844/

Épicentre de la Révolution industrielle, le Canal de Lachine a longtemps été le symbole de l’accélération de la circulation du capital. L’abandon de sa vocation industrielle durant la deuxième moitié du xxe siècle a plongé ses quartiers limitrophes dans un long déclin. Depuis une vingtaine d’années, le secteur connaît un regain d’intérêt et un boom dans sa construction immobilière. Que s’est-il passé ? En retraçant l’évolution de l’habitation aux abords du canal, Il faut qu’il règne cherche à dévoiler l'ordre moral et les rapports de classes qui se cachent dans la complexité du palimpseste urbain. Dans le cadre du 200e anniversaire de l’inauguration du canal, ce long-métrage rend hommage à la vie, la mort et la renaissance de l’un des plus remarquables vestiges du capitalisme industriel.

65 minutes, version originale française, sous-titres anglais

Présenté à Arsenal Art Contemporain tout le mois de mai, du mercredi au dimanche de 10h à 18h. Le film joue en boucle.

Projection extérieure gratuite le vendredi 30 mai à 20h au Hangar 1825 (bord du canal).

Projection remise au dimanche 1er juin à 20h en cas de pluie.

La Galerie L’Onyx présente Dialogues : Passé et présent, première exposition solo à Montréal de l'artiste canadien Jim Krieger, du 16 au 31 mai.

Pour le résident de Ville-Emard, la création artistique est un échange intime et continuellement évolutif. « Mon travail a toujours été un dialogue entre les matériaux et les réactions qu'ils suscitent en moi », explique-t-il. « Je ne cherche pas à reproduire la réalité, mais à en inventer une nouvelle, plus personnelle. Ce processus est guidé par la libre association entre ce qui se présente à moi et ce qui émerge en moi. C'est un dialogue profondément personnel.»

Le parcours artistique de Krieger a commencé dans les années 1970, avec la sculpture. Il a d'abord exploré les formes organiques du bois flotté, avant de se tourner vers la robustesse de la pierre, l’aspect industriel de l’acier, et plus récemment les techniques mixtes. Ses influences diverses couvrent les continents et les siècles, s'inspirant du pouvoir spirituel des fétiches africains, de l'élégance des rouleaux et de la calligraphie asiatiques, et des innovations avant-gardistes allant de Constantin Brancusi à David Smith.

L'exposition Dialogues: Past and Present est présentée du mercredi au vendredi de 13h00 à 18h00 et le samedi de 13h00 à 17h00 jusqu'au 31 mai 2025. L'entrée est gratuite.

Le vernissage aura lieu le vendredi 16 mai à 17h en présence de l'artiste. L'exposition se poursuivra jusqu'au 31 mai 2025. La Galerie L’Onyx est située au 6400, boulevard Monk, à Montréal.

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POUR PLUS D'INFORMATIONS:

Courriel: info@galerielonyx.com

Instagram: @galerielonyx

Site web: www.galerielonyx.com

DERNIERS JOURS

Montréal, le 25 avril 2025. – La Galerie L’Onyx a le plaisir de présenter Géométrie de l’imaginaire, une exposition en duo réunissant les œuvres de Lorraine Dagenais et de Won Ch. Kimetarx. Cette exposition transcende les frontières de la géométrie traditionnelle, invitant les spectateurs à explorer les espaces infinis de l’imagination et de la perception.

L'exposition Géométrie de l’imaginaire est présentée du mercredi au vendredi de 13h00 à 18h00 et le samedi de 13h00 à 17h00 jusqu'au 10 mai 2025. L'entrée est gratuite.

L'exposition se poursuivra jusqu'au 10 mai 2025. La Galerie L’Onyx est située au 6400, boulevard Monk, à Montréal.

-30-

POUR PLUS D'INFORMATIONS:

Courriel: info@galerielonyx.com

Instagram: @galerielonyx

Site web: www.galerielonyx.com

Du 13 au 18 mai, je présente une vingtaine de collages et de dessins sur les murs de la Galerie ERGA, murs partagés avec ma complice d'atelier, Jocelyne Fournel.

https://www.galerie-erga.com/expo-venir/les-couleurs-me-rveillent-la-nuit-et-phnomnes-naturels

Le thème de Traces est le lien entre les perceptions initiales et les histoires inconnues ou cachées. Intriguée par la relation entre illusion et profondeur, Shelley Freeman explore, photographie et peint des grottes, des mines abandonnées, des tunnels et des formations rocheuses. Ses compositions suggèrent de lents changements au cours de l'éternité et révèlent des traces de vie humaine et animale, ainsi que des fragments de souvenirs et d'idées, qui demeurent indéfiniment. Inspirée par les aspects semi-abstraits des structures urbaines en béton, Wendy A. Thomas s'inspire des modifications involontaires et souvent soudaines des structures urbaines en béton (trottoirs, murs de ponts piétonniers). Les œuvres qui en résultent sont intentionnelles : une narration imaginée d'un moment éphémère dans leur transformation continue. De la même manière, la vie laisse des traces d'expériences, souvent sans en révéler les causes.

The theme of Traces is the link between initial perceptions and unknown or hidden histories. Intrigued by the relationship between illusion and depth, Shelley Freeman explores, photographs and paints caves, abandoned mines, tunnels and rock formations. Her compositions suggest slow changes over eternity and reveal traces of human and animal life, as well as fragments of memories and ideas, that remain indefinitely. Inspired by the semi-abstract aspects of urban concrete structures, Wendy A. Thomas draws on the involuntary and often sudden modifications of urban concrete structures (sidewalks, pedestrian bridge walls). The resulting works are intentional: an imagined narrative of an ephemeral moment in their ongoing transformation. In the same way, life leaves traces of experiences, often without revealing their causes.

Ricochet

Pénélope et Chloë

Du 3 avril au 25 mai 2025

Vernissage le 3 avril de 18h à 20h

Présentée par le Centre culturel Georges-Vanier

Ricochet est une exposition participative composée d’une vingtaine de sculptures molles. Disposées au sol selon une grille, ces formes-objets peuvent être manipulées, transformées et entrelacées pour créer une multitude de compositions. Vous êtes invité.e.s à devenir, à votre manière, artiste, scénographe et commissaire de l’espace. En investissant la salle d’exposition et en réorganisant ces formes-objets, vous contribuez activement à la création d’une œuvre collective en constante évolution. Chaque semaine, l’installation se transforme, générant une dynamique renouvelée et une redéfinition du lieu d’exposition. La grille, loin d’être une contrainte, devient un terrain de jeu où les possibilités de combinaisons et de décompositions sont infinies.

Pénélope et Chloë

est un duo d’artistes femme basé à Montréal, travaillant conjointement depuis 2014. Leur pratique s’oriente à travers des collaborations complices, investissant des espaces publics par l’emploi de divers jeux et installations textiles. Elles se concentrent sur la naïveté sensible des formes et la figure de l’enfant-grand. Laissant une grande place à l’expérimentation et la spontanéité des rencontres et des actions, elles accordent une attention particulière à l’impact environnemental de leur travail. 

pe

nelopeetchloe.com

Le mercredi 12 mars dernier, l’auteure Marie-Laure Chevrier, était l’invitée d’honneur à la journée de la Francophonie dans une école de la région de Vancouver.

Pour l’occasion, l’école des Pionniers-de-Maillardville, qui regroupe 700 élèves de la maternelle à la 12e année, avait organisé une panoplie d’activités autour de son livre jeunesse Monsieur Maillardville, un pionnier visionnaire, qui rappelle la naissance de la communauté francophone de la Colombie-Britannique.

Avant de s’établir dans l’arrondissement du Sud-Ouest, l’auteure originaire des Îles-de-la-Madeleine a enseigné pendant 23 années dans la région vancouvéroise.

Au terme de l'événement, l’auteure confie : « Je suis touchée par l’accueil reçu de ces jeunes élèves qu’on oblige souvent à apprendre la langue de leurs ancêtres. Leur enthousiasme était tel que j’ai reçu des tapes-dans-la-main (high five) et dû donner des câlins et signer des autographes ! Je n’en reviens pas encore ! »

Cliquer ici pour le texte du compte-rendu paru dans les médias locaux.